1. Surproduction mondiale de certains pays et grande quantité de liquidités.
  2. Autorisation de grands prêts à de très faibles taux d’intérêt (encourage la dépense et l’emprunt)
  3. Prêter ces sommes d’argent pour le développement international, sans regard des gouvernements en place dans les pays emprunteurs, et sans condition d’utilisation ou demande de responsabilités de la part de ces gouvernements.
  4. Disparition de ces immenses montants, sans le développement et l‘investissement pour la mise en capital de ces sommes.
  5. Crise économique mondiale… hausse phénoménale des taux d’intérêt…
  6. Puisque très faible capitalisation des sommes dépensées (peu de moyens de production, forte dépendance face aux importations, peu de valeur ajoutée aux biens produits), les pays emprunteurs se retrouvent dans l’incapacité de payer leurs dettes et intérêts face à leurs créanciers.
  7. Pour éviter l’effondrement du système économique mondial, mise en place de mesures de redressement par les pays et organismes créanciers envers les pays emprunteurs, soient les «Plans stratégiques d’interventions». Consistent en la libéralisation des économies, soit :
    1. Privatisation des services publics (éducation, électricité, santé, gestion de l’eau et des déchets, etc)
    2. Augmentation substantielle des prix
    3. Mise à pied en parallèle d’une grande portion des emplois au gouvernement
    4. Baisse substantielle de la capacité d’achat
    5. Augmentation généralisée du chômage
    6. Augmentation de la pauvreté, dont la pauvreté extrême

Évidemment, ces étapes sont de grandes généralités. Cependant, la ligne principale reste sensiblement la même. Cette dernière est appliquée par le Fond monétaire international (FMI), la Banque mondiale (BM), les pays créanciers (club de Paris) et les institutions créancières privées (club de Londres).